La chasse est une activité qui perd des adeptes : départ des plus anciens, exode rurale, activité vue comme dangereuse… Des raisons qui sont contre balancées par de nombreuses actions de défense.

Initiation des plus jeunes à la chasse

Les plus jeunes représentent le futur de la chasse. En effet, perdant des adeptes, un regain de passionnés de moins de 30 ans pourrait redorer le nombre de pratiquants.

Des parents qui montrent l’exemple

Souvent, des parents et grands-parents qui exercent la chasse à une répercussion sur les plus jeunes de la famille. En effet, c’est une passion qui se transmet de générations en générations. Lors de discussions familiales par exemple, les plus jeunes seront plongés dans cet univers. De plus, la consommation de gibiers sera plus fréquente et affûter leurs palais.

Sensibilisation active des plus jeunes

Pour les plus jeunes qui n’ont pas la chance d’avoir des parents chasseurs, des associations de chasse mettent en œuvre des journées de sensibilisation. La ANJC (association nationale des jeunes et nouveaux chasseurs) promeut la chasse à travers de d’une soixantaine d’associations présentent dans les départements de France comme dans le Doubs, l’Aube ou l’Oise.
Elle vise à rassembler tous les jeunes chasseurs de France et leurs projets.
De plus, l’intervention dans les milieux scolaires est chose courante. Ils leur apprennent par exemple à tenir une carabine, les valeurs de la chasse et rétablir les préjugés de cette activité. Des journées découvertes sont mises en place comme dans le Gers (Fédération départementale des chasseurs du Gers).

Afin que le prix du permis ne soit pas un frein, il a été divisé par deux en 2018 (passant de 400 à 200 euros).